Vous êtes enceinte et vous paniquez car cette grossesse est inattendue.
Vous envisagez de ne pas garder cette grossesse, ou bien vous hésitez …
C’est une période très délicate pour vous.
Soufflez, respirez…. c’est le métier d’une conseillère conjugale d’être là pour vous.

Pour vous écouter, même si vous avez pris votre décision. Pour vous écouter, surtout si vous hésitez.
L’accompagnement proposé vous permet de mettre des mots sur ce que vous ressentez, la conseillère conjugale n’est pas là pour vous donner son avis, mais bien pour accompagner ce moment, pour être là pour vous, pour vous et votre compagnon si vous souhaitez venir ensemble.

C’est officiel depuis le 19 février 2022, l’IVG médicamenteuse peut être pratiquée par un médecin en ville par téléconsultation exclusive. Cela signifie que vous n’avez pas à vous déplacer si vous le souhaitez.
Prenez le temps qu’il vous faut, la décision est très importante, mettre des mots sur ce que vous vivez peut grandement vous aider pour la suite, pour vivre cet avortement et le dépasser, ou bien pour poursuivre votre grossesse. C’est votre choix. La conseillère n’est là que pour vous accompagner dans la confidentialité.

J’ai accompagné plus de 3000 personnes dans ce moment délicat. N’hésitez pas à me contacter.

J’étais l’invitée de l’émission de Myriam Issouf-Ali, Les experts solidaires sur France Bleu Touraine le 14 février 2022. Vous pouvez écouter le podcast :

https://www.francebleu.fr/emissions/le-dossier-du-jour/touraine

La journaliste japonaise Ayana Nishikawa a assisté à l’une des séances que je propose aux adolescents dans les lycées et les collèges. Elle décrit son expérience et le contenu des sessions d’éducation à la sexualité pour les adolescents dans un article sur le site de Newsweek Japan (en japonais).
Voir l’article→

Par Mattea Battaglia – Publié le 01 juin 2018 à 10h47 –

Lire l’intégralité de l’article : (site du Monde)→

Education à la sexualité : « De “ça”, on ne parle pas… à moins d’être mariée ! »
Dans les collèges et les lycées, des séances avec conseillers familiaux et infirmières scolaires tentent de casser les stéréotypes sexistes et de lever les nombreux tabous.

Pupils take part in the first written test in philosophy as part of the Baccalaureat (France’s high school diploma) at a school in Paris on June 15, 2017. / AFP PHOTO / Martin Bureau

Quand Christine Héritier demande « Et le consentement, ça vous parle ? », la réaction des collégiens et des lycéens qu’elle encadre lors de séances d’éducation à la sexualité est souvent la même : « Madame, c’est quoi, le consentement ? » Puis, une fois que la conseillère conjugale et familiale rattachée au centre de planification des Bluets-Trousseau (Paris 12^e) explique que « c’est la possibilité de dire non, ou oui, à une relation amoureuse ou à une proposition », la réponse des adolescents fuse : « Ben, c’est pas compliqué, pour dire non, il suffit de dire non ! »

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